Publié le 13 décembre 2021
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Mis à jour le 12 avril 2022
le 13 décembre 2021
Hommage à Georges Bohas. Sous la direction de Danielle Leeman
Mustafa ALLOUSH, Didier BOTTINEAU, Mihaï DAT, Salam DIAB-DURANTON, Michaël GRÉGOIRE, Salem KHCHOUM, Philippe MONNERET, Dominique NEYROD, Stéphane PAGÈS, Bruno PAOLI, Dennis PHILPS, Sophie SAFFI
Sous la direction de : Danielle LEEMAN
Comité scientifique : Jean-Pierre ANGOUJARD (Nantes), Gilles BOYÉ (Bordeaux), Gerda HASSLER (Potsdam), Georges KLEIBER (Strasbourg), Jacqueline LÉON (CNRS), Fabio MONTERMINI (CNRS), Florence VILLOING (Paris Nanterre)
Résumé : La Théorie des Matrices et Étymons (TME) de Georges Bohas constitue une innovation radicale en Sciences du langage. Fondée initialement sur les faits de l’arabe puis étendue à la diversité des langues naturelles, elle se situe dans une perspective submorphémique : l’unité phonétique minimale n’y est pas le phonème mais le trait et l’unité minimale signifiante n’y est pas le morphème mais un composé de traits et d’invariant notionnel appelé « matrice ». Ainsi, la TME institue une motivation du sens du mot par sa forme même, dans sa dimension articulatoire, ou motivation intrinsèque.
Le présent ouvrage discute ces fondements, les étaye par des données nouvelles et en montre l’importance épistémologique au regard de théories cognitives élaborées indépendamment, comme la théorie de l’énaction.
Sous la direction de : Danielle LEEMAN
Comité scientifique : Jean-Pierre ANGOUJARD (Nantes), Gilles BOYÉ (Bordeaux), Gerda HASSLER (Potsdam), Georges KLEIBER (Strasbourg), Jacqueline LÉON (CNRS), Fabio MONTERMINI (CNRS), Florence VILLOING (Paris Nanterre)
Résumé : La Théorie des Matrices et Étymons (TME) de Georges Bohas constitue une innovation radicale en Sciences du langage. Fondée initialement sur les faits de l’arabe puis étendue à la diversité des langues naturelles, elle se situe dans une perspective submorphémique : l’unité phonétique minimale n’y est pas le phonème mais le trait et l’unité minimale signifiante n’y est pas le morphème mais un composé de traits et d’invariant notionnel appelé « matrice ». Ainsi, la TME institue une motivation du sens du mot par sa forme même, dans sa dimension articulatoire, ou motivation intrinsèque.
Le présent ouvrage discute ces fondements, les étaye par des données nouvelles et en montre l’importance épistémologique au regard de théories cognitives élaborées indépendamment, comme la théorie de l’énaction.